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Une passerelle entre la prison et l'entreprise

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A Lyon, le Groupe pour l'emploi des probationnaires propose un accompagnement individualisé vers l'emploi aux détenus qui préparent leur sortie, ainsi qu'aux personnes relevant d'une mesure de milieu ouvert. Pour ce faire, l'association a monté une « plateforme de l'insertion » et un vaste réseau d'entreprises.
« «Si t'es au GREP, t'as du travail, t'es dehors !», voilà ce qui se dit au centre de détention de Joux-la-Ville. Le GREP, pour les détenus, c'est la porte de sortie ! », affirme sous couvert d'anonymat Thibault, qui, après dix mois de prison, a bénéficié d'une semi-liberté grâce à la promesse de suivi du Groupe pour l'emploi des probationnaires (GREP) (1). Créée en 1985, à l'initiative de magistrats et de travailleurs sociaux, l'association lyonnaise a vocation à assurer un accompagnement renforcé vers l'emploi de publics placés sous main de justice. « Plutôt que de les laisser naviguer dans le droit commun pas toujours adapté à leur problématique, explique Guy Dubrez, le directeur, l'institution judiciaire a voulu développer un suivi sur mesure. » Autrement dit intégrant de la souplesse mais aussi du contrôle. « Nous sommes une…
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