L'Uniopss défend une politique de santé non sélective et non discriminatoire
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Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Par : I. S.Lecture : 4 min.
Quarante-huit propositions pour « l'accès de tous à la prévention et à des soins de qualité ». C'est un rapport très global (abordant la santé à travers ses aspects financiers, sanitaires, mais aussi sociaux et médico-sociaux, et sa dimension internationale) qu'a remis l'Uniopss (Union nationale interfédérale des oeuvres et organismes privés sanitaires et sociaux) à Xavier Bertrand, ministre de la Santé, le 14 décembre lors d'une journée d'étude sur le sujet (1). De ce document, elle a dégagé dix priorités, réunies au sein d'une « plateforme politique » qu'elle entend, à l'approche des élections, diffuser très largement auprès des responsables politiques et de l'opinion publique. Une façon d'apporter sa contribution en vue « d'engager une politique globale de promotion de la santé ». Son diagnostic est clair : si de nombreux textes ont permis d'indéniables avancées, comme la loi sur les droits des malades et la qualité du système de santé en 2002, le plan « Hôpital 2007 » en 2003, la réforme de l'assurance maladie ou encore la création de la couverture maladie universelle (CMU), ils n'en restent pas moins partiels, voire « partiaux ». D'où de nombreux reculs et surtout la persistance…
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