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La supervision, objet mal identifié en quête de légitimité

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Sur un terrain aujourd'hui envahi par les spécialistes du coaching et du conseil, la supervision doit défendre sa spécificité. Utilisé ponctuellement, voire plus systématiquement, et parfois depuis longtemps, cet outil d'aide et de professionnalisation reste en effet relativement méconnu. Et, souvent aussi, mal perçu.
Le champ de l'action sociale est traversé de concepts fourre-tout - ou qui le sont devenus au fil du temps. Le terme de supervision fait partie de ces notions équivoques que chacun entend à sa façon. Entré dans le lexique français du service social il y a une cinquantaine d'années, avec la méthodologie du « case work » ou aide psychosociale individualisée, très inspirée par la théorie freudienne, ce concept a déjà une longue histoire derrière lui. C'est pourquoi, le trouvant à la fois - ou au choix - trop vieillot, trop « corpo », trop marqué par la psychanalyse et/ou trop évocateur d'une position d'autorité et de contrôle, certains évitent de l'utiliser. Ils lui préfèrent l'expression générique d'« analyse des pratiques ». Plus neutre, celle-ci ne suscite pas les mêmes réticences. Evacuant ainsi les problèmes d'ordre sémantique,…
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