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Un nouveau rapport officiel pointe les failles de l'accueil d'urgence

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« Il ne s'agit pas seulement de gérer l'urgence, mais aussi la pénurie ». Cette observation de la chambre régionale des comptes d'Ile-de-France, qui a passé au crible la gestion des dépenses du SAMU social de Paris (1), résume l'incurie du système de l'hébergement d'urgence. Plus d'un an après le rapport de la direction régionale des affaires sanitaires et sociales et la direction régionale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes sur les hôtels meublés (2), cette instance met en exergue les dépenses colossales consacrées à l'hébergement en hôtel, faute de places suffisantes et de passerelles entre l'urgence et l'insertion. L'ampleur de la demande, d'abord : en dépit de la hausse de ses effectifs, le 115 reste difficile à joindre avec, en janvier 2006, plus de 1 000 appels par jour. Or du fait des places libérées et remises à la disposition du 115, 300 personnes sont rendues à la rue quotidiennement, soit plus du tiers des personnes hébergées dans le dispositif régulé par le SAMU social. En outre, faute de coordination des données existantes, « le SAMU social de Paris peine à se positionner dans un réseau d'acteurs parisiens qui assurerait une continuité…
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