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Services de tutelles : un « paradoxe » lourd à gérer selon l'ANDP

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Alors que François Rigouste, président de la Fédération nationale des associations tutélaires, dans un courrier paru dans les ASH (1), faisait état des conditions très difficiles d'exercice des délégués à la tutelle, l'Association nationale des délégués et personnels des services de tutelle (ANDP) (2) souligne « le paradoxe » auquel sont confrontés les professionnels : « faire face à des situations de plus en plus complexes, de plus en plus conflictuelles et, parallèlement, être soumis à un travail qui exige de plus en plus de qualité, inscrit dans le contexte législatif de ces dernières années ». La réponse pour l'association est politique (3), mais passe aussi par la prise en compte du risque par les services employeurs. « Ce métier exige des compétences : un personnel et un encadrement formés », souligne-t-elle. « Il est inadmissible qu'un délégué se retrouve seul et sans soutien dans un conflit avec un protégé. Il est inadmissible qu'un délégué victime d'agression doive aller porter plainte, seul, sans soutien hiérarchique. Il est inadmissible que des juges minimisent le conflit au risque que perdure la violence faite au professionnel. » Encourageant donc les professionnels…
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