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...tandis que le CNS propose d'élargir le dépistage en direction des populations « les plus exposées »

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Le fait de dépister les personnes en fonction des pratiques à risque est une stratégie qui « a démontré ses limites », estime le Conseil national du sida (CNS) dans un rapport rendu public le 23 novembre (1), où il formule une série de recommandations pour améliorer le dépistage de la maladie.

Ainsi, il considère que le moment de la prescription d'un moyen de contraception, le constat de changements dans la vie sexuelle d'un patient, une grossesse, une interruption volontaire de grossesse, l'établissement d'un certificat prénuptial sont autant d'occasions de proposer un test de dépistage et d'adopter une pratique moins « stigmatisante ».

Le conseil recommande aussi de généraliser, pour l'ensemble de la population sexuellement active, la proposition de tests lors des recours aux soins dans les régions à forte prévalence (départements d'outre-mer, Ile-de-France, Provence-Alpes-Côte-d'azur). Et souhaite développer le plus largement possible l'offre de dépistage afin de toucher les populations les plus exposées. Concernant les migrants vivant en France - et notamment les personnes originaires d'un pays d'Afrique subsaharienne -, les associations pourraient,

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