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...tandis que le CNV s'interroge sur sa capacité à répondre aux nouveaux défis de la politique de la ville

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L'Agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances « sera-t-elle un simple guichet ou pourra-t-elle aussi être un opérateur, ce qui semblait être prévu à l'origine ? » De quelle façon « seront opérés les choix en matière de financement des projets locaux : par appels à projets, système qui favorise toujours les villes et associations qui ont les moyens d'une ingénierie ? en fonction du degré de priorité de la géographie sur laquelle interviendra le projet ? ou en «collant» aux décisions prises par l'Agence nationale de rénovation urbaine [ANRU], hypothèse dans laquelle on peut se demander s'il n'aurait pas mieux été de tout regrouper en une seule agence ? ». Ce sont quelques-unes des questions que se pose le Conseil national des villes (CNV) dans un avis adopté le 19 octobre dernier (1). Questions auxquelles, selon lui, le décret instituant l'agence (2) ne répond pas, ce qui le fait s'interroger sur « la cohérence d'ensemble du dispositif et sur sa capacité à répondre aux nouveaux défis de la politique de la ville ». Le CNV s'inquiète de « l'organisation complexe » de l'agence qu'il estime « peut-être même porteuse de confusion » entre le niveau départemental et…
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