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Penser la qualité en réinterrogeant la mémoire de l'institution

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Les termes de « qualité », de « bonnes pratiques », d'« évaluation » ont envahi le secteur social et semblent devenus une évidence partagée. Pour échapper au risque du « prêt-à-penser » et du formatage de leurs interventions, les établissements doivent se saisir de ces exigences de transparence pour se réapproprier leur histoire et revenir aux valeurs qui fondent leurs actes professionnels.
En matière d'accompagnement, qu'est-ce qu'une « bonne pratique » ? La question pourrait paraître spécieuse tant les références abondent, à commencer par la loi du 2 janvier 2002 sur l'action sociale et médico-sociale ou par les recommandations du Conseil national de l'évaluation sociale et médico-sociale. Sauf que la poser revient aussi à ouvrir une boîte de Pandore. « Plus personne ne s'étonne du succès de l'épithète «bonne», explique Vincent Meyer, sociologue et membre du Comité scientifique de l'éthique, des pratiques professionnelles et de l'évaluation (CSEPPE) du Groupe national des établissements et services pu-blics sociaux et médico-sociaux (GEPSo). Tout se passe comme si ces pratiques étaient devenues une évidence partagée, si ce n'est une généralité…
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