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Aider les aidants familiaux, un impératif éthique et économique

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Les aidants familiaux de proches handicapés ou âgés commencent à bénéficier d'un embryon de reconnaissance publique. Leur « droit au répit » se trouve ainsi explicitement affirmé. Sa concrétisation, cependant, continue à relever, pour l'essentiel, d'initiatives isolées. Or si les formules existantes d'accueil temporaire font la preuve de leur utilité, elles sont encore loin de satisfaire à l'ampleur des besoins.
C'est une question de justice sociale. C'est aussi une affaire d'intérêt bien compris. Au regard du rôle clé que jouent les familles auprès d'un proche en situation de handicap ou de perte d'autonomie du fait de l'âge ou de la maladie, de nombreux pays développés, tels que l'Allema-gne, la Grande-Bretagne, le Canada, la Suède, l'Australie ou le Japon, reconnaissent l'appui aux aidants familiaux comme une dimension fondamentale du système public de prise en charge de la dépendance. En France, la collectivité n'a pas encore pris la juste mesure des besoins de l'aidant, ni en termes de services, notamment de services de répit, ni en termes de compensations financières. Cepen-dant, l'Etat providence s'étiolant alors que progresse la durée…
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