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Sécurité sociale. Dans un rapport rendu public le 25 octobre, le sénateur (UMP) Philippe Marini attire l'attention sur la tendance à l'augmentation de la part des ressources fiscales dans le total des ressources de la sécurité sociale, qui atteint aujourd'hui 28 %, et sur le caractère complexe et peu compréhensible des relations financières entre l'Etat et la sécurité sociale. Aussi appelle-t-il à « une remise à plat du mode de financement de la protection sociale » qui permettrait de distinguer explicitement ce qui relève d'une logique d'assurance - prestations liées aux cotisations comme en matière de chômage et de retraite - de ce qui relève d'une logique de solidarité, telles que la famille et la maladie qui seraient intégrées au budget de l'Etat. Dans cette optique, les caisses nationales d'assurance maladie et d'allocations familiales deviendraient des « opérateurs de l'Etat ».Rapport sur les prélèvements obligatoires et leur évolution - Etat et sécurité sociale : quels prélèvements pour quels besoins collectifs ? - Philippe Marini - Disp. sur www.senat.fr.
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