« Améliorer la qualité de vie des personnes handicapées psychiques hébergées »
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 3 min.
Selon les résultats d'un questionnaire présentés les 19 et 20 octobre (1), 270 structures sociales et médico-sociales existantes ou en projet ont vocation à accueillir des personnes handicapées psychiques. Mais la prise en charge reste à améliorer, défend le psychiatre Gérard Massé, coordonnateur de la mission nationale d'appui en santé mentale (2).
Pourquoi ce questionnaire ?Longtemps, les personnes handicapées psychiques ont été « les oubliées de l'asile ». A partir des années 90, des outils ont été mis en place pour améliorer leur qualité de vie : l'ordonnance du 24 avril 1996 dont l'article 51 a permis aux établissements publics de santé de gérer des structures médico-sociales ; la loi du 2 janvier 2002 qui insiste sur les notions de projet et de recommandations de bonnes pratiques ; la loi « handicap » du 11 février 2005 enfin, qui reconnaît la notion de « handicap psychique ». Nous souhaitons aujourd'hui établir un bilan d'étape : comment les acteurs se sont-ils saisis de ces instruments pour créer des lieux - à la fois de vie et de soins - hébergeant des personnes…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques