Recevoir la newsletter

Médiation pénale : le ministère de la Justice répond aux inquiétudes des associations socio-judiciaires

Article réservé aux abonnés

Deux associations socio-judiciaires, la fédération Citoyens et justice et l'Institut national d'aide aux victimes et de médiation (Inavem), ont adressé le 25 juillet dernier un recours gracieux au garde des Sceaux contre une circulaire relative à l'activité et aux missions des délégués et médiateurs du procureur de la République, parue le 12 juin dernier (1). Le ministère de la Justice répond à leurs inquiétudes aujourd'hui dans une note adressée à ses services. La circulaire impose notamment aux associations conventionnées ou habilitées au titre de plusieurs activités (enquêtes pénales, contrôle judiciaire socio-éducatif...) de tenir une comptabilité analytique distinguant les différents services avec les dotations spécifiques en effectifs et en budgets qui leur sont affectés. Les organisations craignaient que cela implique « l'impossibilité pour un intervenant d'une association habilitée de mener des activités dans le cadre de mesures alternatives aux poursuites » parallèlement à d'autres activités, notamment d'enquête. Une restriction qui, selon eux, provoquerait « des difficultés insurmontables dans de nombreuses associations de petite taille, dont les personnels formés exercent…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN TEXTES

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur