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« Professionnels de l'action sociale, auxiliaires de la justice ! »

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La vocation des professionnels de l'action sociale est-elle de devenir des auxiliaires du système judiciaire au nom de la lutte - certes légitime - contre les mauvais traitements ? Non, défend Jean-Marc Lhuillier, professeur de droit social à l'Ecole nationale de la santé publique, qui estime, au contraire, que la protection des usagers sera améliorée si l'on respecte la spécificité des acteurs.
« Améliorer le fonctionnement de la justice, faciliter le travail difficile des magistrats, lutter contre les mauvais traitements commis sur les plus vulnérables d'entre nous, quel citoyen digne de ce nom ne se réjouirait pas de cet objectif et pourrait envisager - même en pensée - de ne pas y participer ? Pour un pays, il n'existe pas de pire situation sociale que celle où la justice est absente ou dysfonctionne. Violences extrêmes, corruptions diverses, atteintes aux libertés, injustices sociales sont le corollaire des dysfonctionnements judiciaires. Comme nous l'avons vu à propos d'une affaire célèbre, le mauvais fonctionnement d'un tribunal peut entraîner des catastrophes humaines irréparables. Le code pénal prévoit lui-même de graves…
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