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Les départements veulent expérimenter librement en matière d'insertion

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« Le département, collectivité des solidarités sociales et territoriales. » Pour les présidents de conseils généraux, réunis à Reims les 13 et 14 septembre, l'affirmation semble une telle évidence qu'ils n'en ont guère débattu. C'était pourtant le thème officiel du 76e congrès de l'Assemblée des départements de France (ADF) (1). Pour eux, pas de doute, « ce qui était - et est encore pour certains -, l'échelon de trop » dans l'architecture administrative de la France est « devenu un échelon-pivot de la République » en matière de solidarité, selon le mot de Michel Dinet, président du conseil général de Meurthe-et-Moselle. Aucun doute non plus, à droite comme à gauche, quant à la supériorité de la « gestion de proximité » sur celle de l'Etat en la matière. Un seul atelier était consacré à la réforme des minima sociaux. Trop bref pour permettre des échanges approfondis, mais suffisant pour mettre en lumière ce qui fait déjà consensus. Et d'abord la nécessité de réformer quand s'ajoute aux neuf minima sociaux existants une multitude de dispositifs d'aide au logement, aux transports, aux cantines... - l'Eure en a dénombré 51 pour les seuls titulaires du revenu minimum d'insertion (RMI)…
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