« Le conseil est devenu un interlocuteur obligé des pouvoirs publics »
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Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 7 min.
Reconduit à la présidence du Conseil national consultatif des personnes handicapées (CNCPH) pour un nouveau mandat de trois ans, Jean-Marie Schléret réunit cette instance le 6 septembre. Avec la volonté d'élargir encore sa participation à l'élaboration des politiques publiques.
Actualités sociales hebdomadaires : D'abord un petit retour en arrière. A quel titre avez-vous été désigné comme président du CNCPH en 2002 ? En tant que personne directement concernée par la question ? Ou est-ce votre étiquette politique qui a prévalu ? Jean-Marie Schléret : La tradition, mais non la règle, voulait qu'un parlementaire assure cette mission. Pour l'anecdote, François Hollande et Roselyne Bachelot figurent parmi mes prédécesseurs... Il y avait, semble-t-il, pas mal de candidats. J'étais ancien député, mais je pense que c'est avant tout mon expérience de professionnel du social et de parent d'un enfant handicapé (1) qui a intéressé Marie-Thérèse Boisseau, alors secrétaire d'Etat aux personnes handicapées, et son directeur de cabinet, Raymond Chabrol. J'avais eu l'occasion de les rencontrer, chacun de leur côté, dans l'exercice de mes activités. Ma pratique…
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