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Prévention de la délinquance : beaucoup de revendications pour l'examen parlementaire

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Les oppositions aux mesures du projet de loi sur la prévention de la délinquance sont toujours aussi fermes après sa présentation en conseil des ministres, le 28 juin dernier (1). Le bureau de l'Association des maires de France (AMF) (2), qui sont les premiers concernés par la réforme, a adopté une position sans ambiguïté : s'il se réjouit de voir la fonction de coordinateur du maire reconnue, il « ne souhaite pas que les nouvelles compétences confiées aux maires entraînent une confusion entre les missions de chacun des acteurs de la sécurité et un transfert de responsabilités de la part des services de police, de justice ou de l'éducation nationale vers les seuls maires, qu'il s'agisse notamment de tutelle aux prestations familiales ou de rappel à la loi ». Les maires demandent par ailleurs que les dispositifs mis sous leur responsabilité dans le projet de loi, dont le conseil des droits et devoirs des familles, restent facultatifs. Malgré moult remaniements, l'article sur le secret partagé n'a pas non plus fini d'alimenter les débats : pour que le maire « puisse jouer efficacement son rôle de médiateur », il doit disposer d'une information complète et précise, plaide l'AMF, qui attend…
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