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Hausse des dépenses : les départements ont une faible marge de manoeuvre, selon une étude

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Les dépenses des départements sont difficiles à maîtriser, car leur évolution dépend moins des décisions des conseils généraux que de facteurs dits « exogènes », liés à des mesures nationales ou à d'autres variables. La marge de manoeuvre dont les conseils généraux disposent est donc très mince. C'est du moins ce que montre une étude effectuée à la demande de l'Assemblée des départements de France (ADF) par un cabinet de consultants (1) et présentée, le 28 juin, à l'occasion de la première journée nationale des conseils généraux. L'étude confirme que la hausse des dépenses de fonctionnement des conseils généraux est « tirée » vers le haut par l'aide sociale, qui a fait un bond de 111 % entre 2001 et 2004. L'ensemble de ce secteur est ainsi passé, pendant cette période, de 41 % à 57 % des dépenses de fonctionnement des conseils généraux. En tête, l'allocation personnalisée d'autonomie dont les dépenses ont crû de 10,1 % entre 2004 et 2005, en raison principalement de l'augmentation du nombre de bénéficiaires, même si celle-ci a été légèrement atténuée par la diminution du niveau du plan d'aide moyen (- 1,9 %). Autre dépense « subie », celle liée au revenu minimum d'insertion, en hausse…
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