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« Que vont devenir les jeunes majeurs... et les établissements qui les accueillent ? »

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Les décisions de certaines directions départementales de la protection judiciaire de la jeunesse de limiter les aides judiciaires aux jeunes majeurs mettent en danger de nombreux établissements. Et risquent de laisser à l'abandon les publics concernés, faute de dispositif de remplacement élaboré en concertation avec les acteurs, s'alarme Williams Malaret, directeur d'une maison d'enfants à caractère social.
« Après la décision de passage de la majorité civile à 18 ans, en 1974, de nombreux jeunes se sont retrouvés majeurs du jour au lendemain et privés d'accompagnement éducatif ou social, faute d'adaptation du cadre législatif. Sensibilisés par cette réalité souvent cruelle pour beaucoup d'entre eux en réelle difficulté dans leur processus d'autonomisation, les pouvoirs publics feront alors paraître divers textes, telle l'ordonnance du 18 février 1975. C'est ainsi que l'ensemble du cadre permettant l'accompagnement judiciaire, administratif et pénal des jeunes majeurs fût créé. Lequel, au-delà de la question de la délinquance, affirme vouloir apporter une réponse à des publics «éprouvant de graves difficultés d'insertion» ou «confrontés…
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