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« Défendre un travail social de crise »

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Que retenir de la mobilisation des états généraux du social au moment où paraît l'ouvrage qui leur est consacré ? La renaissance d'un débat critique sur l'action sociale et le travail social, défend Michel Chauvière, directeur de recherche au CNRS et ex-président de « 7, 8,9 VEGS ».
Actualités sociales hebdomadaires : 18 mois après la mobilisation des professionnels lors de la semaine des états généraux (1), rien n'a bougé. Le désengagement de l'Etat se poursuit au détriment de l'action sociale envers les exclus. N'était-ce qu'un feu de paille ? Michel Chauvière : Il ne s'agissait pas seulement de la mobilisation de travailleurs sociaux. C'était celle de toutes les personnes concernées par le social en actes : nous avons touché aussi des universitaires, des chercheurs, des fonctionnaires et des usagers -lesquels, même s'ils n'étaient pas très nombreux, ont su prendre la parole. Si la situation s'est aggravée, c'est que le rouleau compresseur néolibéral continue à avancer... L'échéance maintenant, c'est la présidentielle de 2007.Quant à la mobilisation, elle est loin de n'avoir eu aucun effet. C'était une façon de dire à tous ceux concernés…
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