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« Il n'y aura pas d'augmentation mais une amélioration des prises en charge »

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Si le volet législatif représente une « impulsion politique », la réforme du dispositif de protection de l'enfance va se mettre en place par un travail concerté entre l'Etat, les départements, les caisses d'allocations familiales et les professionnels, assure Philippe Bas, ministre délégué à la famille.
Actualités sociales hebdomadaires : Ce projet de loi, très attendu et dont les orientations font consensus, consacre le rôle du département comme chef de file de la protection de l'enfance. Mais sans obligation de moyens pour les collectivités, comment l'Etat va-t-il être le garant de l'application des textes et de l'égalité sur le territoire ? Philippe Bas : C'est une réforme ambitieuse, pragmatique et consensuelle. Il est vrai qu'elle va consacrer le rôle de pilote du département, à qui il incombe d'organiser le signalement, la prévention et l'action en faveur des enfants en difficulté en adaptant les différents modes d'intervention à leurs besoins. Pour autant, l'Etat continue de jouer un rôle très important, en tant que législateur et à travers ses services : l'Education nationale, les hôpitaux publics, la protection judiciaire…
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