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La relance de l'immigration de travail et la limitation de l'immigration familiale au cœur du projet de loi présenté en conseil des ministres

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«  L'immigration demeure aujourd'hui sans rapport avec les capacités d'accueil de la France et ses besoins économiques. » Cette phrase, tirée de l'exposé des motifs, résume à elle seule la philosophie qui sous-tend le projet de loi relatif à l'immigration et à l'intégration présenté le 29 mars en conseil des ministres. Il s'agit, d'un côté, de relancer l'immigration de travail et, de l'autre, de donner un coup de frein non seulement à l'immigration familiale mais aussi aux régularisations. Autrement dit, de privilégier une immigration « choisie » et non « subie ». Le texte sur lequel les parlementaires auront à se pencher - qui contient également des dispositions relatives à l'éloignement des étrangers, à l'asile ou encore à la nationalité - est sans surprise puisque le gouvernement l'avait dévoilé le 9 février, à l'occasion du quatrième comité interministériel de contrôle de l'immigration. On se souvient qu'un point de désaccord semblait alors exister entre le ministre de l'Intérieur et le Premier ministre à propos d'éventuels quotas - même si le mot n'était pas prononcé - d'étrangers susceptibles d'être accueillis chaque année en France (1). L'exposé des motifs du projet de loi…
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