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« Faire converger les textes, les crédits et les statuts du sanitaire et du social »

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Souvent réduite à un vœu pieux, l'articulation entre les secteurs sanitaire et social est pourtant possible, comme le montrent des dizaines d'expériences réussies. Explications de François Roche (1), président du groupe de travail du Conseil supérieur du travail social sur le sujet (voir ce numéro).
Comment expliquer que le décloisonnement entre sanitaire et social relève toujours de l'incantation ?Malgré des invitations constantes et répétées, les lois et les institutions produisent du cloisonnement, car l'administration française continue de fonctionner sur un modèle napoléonien, fondé sur une logique de corps. Cette dernière ne s'oppose pas à l'articulation, mais lui accorde une place secondaire et finalement la néglige. La loi du 2 janvier 2002, la loi de santé publique de 2004 et la loi du 11 février 2005 sur le handicap sont intéressantes en termes d'ouverture, mais les administrations restent dans leurs logiques propres, avec des crédits segmentés, même si on peut espérer que la loi organique relative aux lois de finances permettra sur ce point une évolution. Les lois incitent à plus de prévention…
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