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Pour lutter contre la maltraitance, Marie-Thérèse Hermange préconise un meilleur suivi psychologique des femmes enceintes

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Alors que le ministre délégué à la famille finalise son projet de loi sur la protection de l'enfance -qui devrait être présenté en conseil des ministres à la fin du mois -, une dernière contribution lui a été apportée, le 2 mars, par Marie-Thérèse Hermange, au travers d'un rapport intitulé « Périnatalité et parentalité », qu'il a favorablement accueilli (1). Relevant que l'un « des temps majeurs de la prévention de la maltraitance se situe au moment de la grossesse et autour de la naissance », Philippe Bas lui avait en effet demandé à l'automne dernier de lui faire des propositions sur ce thème.Pour la sénatrice (UMP) de Paris, « il est important d'aller au-delà d'une approche strictement organique du temps de la maternité et de la mise au monde, et de compléter le suivi médical de la grossesse[...] pour mieux tenir compte de la dimension psychique de celle-ci ». Autrement dit, de mieux prendre en considération les risques induits par les troubles de l'attachement, « qui peuvent conduire à des carences relationnelles et avoir des conséquences ultérieures tant sur les parents que sur le devenir de l'enfant ». Pour ce faire, Marie-Thérèse Hermange insiste sur la nécessité de systématiser…
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