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Pour l'ADF, c'est à l'Etat de financer les politiques de solidarité nationale qu'il décide

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Une « délégation pluraliste » de l'Assemblée des départements de France (ADF) (1) devait rencontrer le Premier ministre le 9 février. A l'ordre du jour : le bilan de la décentralisation et des transferts ou délégations de compétences intervenus en rafales depuis 2003, avec leurs conséquences financières pour les conseils généraux.Les dossiers sociaux pèsent lourd dans ce bilan. Celui du revenu minimum d'insertion (RMI) tout d'abord. Honorant une promesse de Jean-Pierre Raffarin, l'Etat vient de verser 457 millions d'euros au titre du déficit de compensation enregistré par les départements en 2004. Reste celui de 2005, proche de un milliard d'euros, montant qui sera dépassé en 2006, prévoit l'ADF, qui demande une nouvelle fois une « compensation intégrale et pérenne des dépenses constatées ». La majorité (de gauche) des départements fait du règlement de ce dossier « un préalable à toute concertation sur l'évolution des politiques d'insertion sociale et professionnelle ». Plus globalement, l'ADF note que les départements ne sont plus seulement des collectivités territoriales assumant librement leurs propres compétences, mais aussi des « services instructeurs » des politiques de solidarité…
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