Recevoir la newsletter

L'ANAS propose un droit d'échange d'informations élargi aux dysfonctionnements institutionnels

Article réservé aux abonnés

Dans le cadre de la préparation du projet de loi sur la protection de l'enfance, l'Association nationale des assistants de service social (ANAS) (1) formule trois propositions pour faciliter la circulation des informations. Selon elle, « le secret professionnel n'est pas un frein à la révélation de la maltraitance », mais les difficultés peuvent venir de son interprétation et de son application, ainsi que « de la diversité des professionnels et de leurs statuts au regard de ce secret ».L'association est donc favorable à une reconnaissance légale des pratiques d'échanges d'informations nécessaires entre les professionnels soumis au secret (ce qui exclut donc, précise-t-elle, les personnes détentrices d'un mandat électif) avec comme « finalité exclusive » la protection de l'enfance. « Il s'agit de clarifier une situation qui oblige des professionnels à se situer hors du cadre légal pour participer à une mission légale. Cela génère de la confusion et une perte de repères pour certains professionnels », explique l'ANAS.Mais cette possibilité d'échanges doit être, selon elle, contrebalancée par « un droit des usagers renforcé ». Il s'agit de les informer de cette pratique et des types…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur