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Les formateurs entre marasme et espoir

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Poser la question des évolutions de la formation dans le champ social, c'est aussi poser celle des formateurs. Or ceux-ci ne présentent pas un front uni. Différences statutaires, culturelles, identitaires, politiques même, font qu'ils s'adaptent en ordre dispersé à la mutation rapide des pratiques sociales. Plongée au cœur d'un malaise fondamental.
Débat en petit comité entre formateurs et quelques travailleurs sociaux à l'Ecole supérieure de travail social (ETSUP) à Paris (1). On aborde la marchandisation du travail social, la nécessaire dimension éthique de la formation, puis, après une pique d'une éducatrice sur l'éloignement du terrain, vient le constat politico-économique. « La question historique de la crise de la formation ne suffit plus !, s'impatiente Claude Maupetit-Kassave, cadre de formation à l'institut Buc Ressources. Une formatrice est venue me trouver en disant qu'elle voulait arrêter la formation : elle était en train de rencontrer les mêmes problèmes financiers que les personnes dont elle s'occupait! » Avec 30 000 heures de formations qualifiantes dispensées chaque année pour 25 000 heures de formations initiales,…
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