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Inquiétudes autour de la future Agence nationale pour la cohésion sociale

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La création de l'Agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances, qui réunirait, selon l'avant-projet de loi pour l'égalité des chances (1), le Fonds d'action et de soutien à l'intégration et à la lutte contre les discriminations (Fasild), la délégation interministérielle à la ville (DIV) et l'Agence nationale de lutte contre l'illettrisme (ANLCI), fait réagir les personnels des institutions concernées.Pour les sections CGT et CFDT du Fasild, ce projet programme « le démantèlement des missions, de l'organisation administrative et des équipes », dont l'action ne se limite pas aux objectifs de la future agence. « La question des discriminations dépasse une action centrée sur les territoires prioritaires ou les publics en difficulté et nécessite d'être pensée en articulation avec la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité », estiment-elles. Elles craignent la disparition des commissions régionales pour l'intégration et la lutte contre les discriminations, qui, comme le conseil d'administration du Fasild, sont garantes du paritarisme actuel. Quid de l'autonomie de gestion et d'administration de l'agence si, comme le prévoit l'avant-projet…
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