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Le Haut Conseil à l'intégration s'oppose fermement au communautarisme et à la discrimination positive

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« Qu'est-ce qui n'a pas été fait ?Qu'est-ce qui a manqué ? » Face « à la crise des banlieues », le Haut Conseil à l'intégration (HCI) ne pouvait éviter de poser la question en remettant au Premier ministre, le 24 novembre, son rapport de fin de mandat pour la période 2002-2005 (1). Il rend pourtant hommage à l' « effort important entamé » depuis octobre 2002 (2), à la fois par la redéfinition des principes d'une politique de l'intégration - qui vise « avant tout à accompagner vers le droit commun » - et par la mise en place « d'instruments administratifs nouveaux », comme le contrat d'accueil et d'intégration. Reste, selon lui, que le temps a manqué et que certaines de ses recommandations ont « tardé à être mises en œuvre ». Le HCI cite notamment la mise en place de « formations professionnalisantes dès 14 ans » et la diversité culturelle dans l'audiovisuel. L'instance consultative déplore aussi la communication insuffisante sur les principes de la politique républicaine d'intégration. « Ce sont d'autres solutions inspirées du communautarisme [...] qui ont constamment été présentées comme la panacée. » Pour lui, « le pire serait » de céder à « la tentation d'en finir avec la…
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