Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 1 min.
Apprentissage. « Je préfère un adolescent qui s'instruit, se forme et s'épanouit en apprentissage, à un jeune déscolarisé, sans avenir, abandonné en marge de la société. » Gilles de Robien a réagi le 9 novembre à la polémique née de la proposition du Premier ministre d'abaisser l'âge d'entrée en apprentissage à 14 ans (voir ASH n° 2428-2429 du 11-11-05). Une voie qu'il juge salutaire salutaire pour « les 15 000 jeunes qui, tous les ans, quittent le système scolaire avant 16 ans », d'autant qu'elle « ne sera pas forcément définitive ». Le ministre de l'Education nationale s'est aussi engagé à ce que les « apprentis juniors » soient suivis par les collèges, ce qui leur garantira « l'acquisition des connaissances générales de base ». La mise en place de cette mesure sera débattue dans le cadre d' « une grande concertation », à laquelle participeront, outre les ministères de l'Education nationale et de l'Emploi, les principaux acteurs concernés (conseils régionaux, chambres des commerce et des métiers, organisations syndicales et patronales). (nécessité face au vieillissement, intégration des migrants, regroupement familial...). Violences urbaines (1). Réuni le 14 novembre, le conseil…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques