Recevoir la newsletter

Huit organisations veulent sauver la protection maternelle et infantile

Article réservé aux abonnés

Qu'est devenue la politique de pro- tection maternelle et infantile (PMI) instituée par l'ordonnance du 2 novembre 1945 ? Six syndicats et deux associations professionnelles (1) se sont réunis le 3 novembre à l'occasion de son 60e anniversaire pour regretter le « dévoiement » de ses missions, redéfinies en 1989 par la loi relative à la « promotion et la protection de la santé de la famille et de l'enfance ». « Les services de PMI sont mis à mal, alors qu'ils devraient se retrouver en première place en termes de priorité de santé publique face à l'inégalité de l'accès aux soins et à la dégradation des conditions sociales », dénonce Christine Bellas-Cabane, présidente du Syndicat national des médecins de PMI (SNMPMI). Les données 2003 fournies par l'Association nationale des directeurs d'action sociale et de santé des conseils généraux (ANDASS) révèlent pour le moins une grande disparité des moyens consacrés à ces services : le chiffre des dépenses de PMI par enfant de moins de 4 ans varie sur une échelle de 1 à 100 (de 3 à 300 €), tandis que le nombre de personnels de santé (médecins, psychologues, sages-femmes, infirmières, puéricultrices) pour 100 000 habitants, lui, oscille entre…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur