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Le gouvernement appelé à une « obligation de résultat »

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«  Notre pays doit-il se fixer des objec- tifs chiffrés en matière de réduction de la pauvreté ? » Sans faire explicitement référence au rapport de la commission « familles, vulnérabilité, pauvreté », qui avait proposé cette perspective, Dominique de Villepin a présenté cette question comme un « chantier de réflexion majeur » le 16 septembre, lors de la première réunion du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale (CNLE) élargi. Dans leur message commun diffusé le 17 octobre, lors de la journée internationale du refus de la misère, ATD quart-monde, Amnesty International France et le Secours catholique lui ont en quelque sorte renvoyé la balle. « Osons ensemble nous fixer des objectifs, qui nous engagent tous, et décider que dans dix ans il n'y aura plus personne à la rue dans nos communes », ont déclaré les trois associations, ainsi que la coalition « 2005 : plus d'excuses ! », relais français de l'Action mondiale contre la pauvreté (1). « Car cette obligation de résultat doit se situer dans une politique qui se fixe d'emblée comme cap et comme exigence l'accès de tous - donc des plus démunis - au droit commun. » Devant les « promesses non…
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