Recevoir la newsletter

La CNCDH également favorable au secret partagé entre les professionnels de la protection de l'enfance

Article réservé aux abonnés

Après le rapport Viout (1) et la circulaire du 2 mai 2005 prise dans la foulée par le ministère de la Justice (2), c'est au tour de la Commission nationale consultative des droits de l'Homme (CNCDH) d'apporter sa contribution à la réflexion sur les conditions de recueil de la parole de l'enfant victime de mauvais traitements et/ou de violences sexuelles.Dans un avis du 22 septembre 2005 (3), la commission relève que, en amont de l'enquête, « de nombreuses révélations faites par les mineurs s'adressent en priorité à un proche de leur famille ou de leur entourage amical. Or, à ce stade, rien n'a été prévu notamment par le législateur pour accompagner les personnes recueillant ces révélations et pour les guider dans les démarches à entreprendre. Cette absence de cadre est vecteur de nombreuses maladresses involontaires mais également de multiples égarements, contretemps et, pire, de silence. » Aussi l'instance recommande-t-elle d'améliorer l'information et l'assistance des personnes non professionnelles amenées à signaler des faits de maltraitance afin de prévenir des dénonciations mal fondées.Dans la lignée du rapport de la mission d'information de l'Assemblée nationale sur la famille…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN TEXTES

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur