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« Citoyenneté en institution : pour un juste équilibre »

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La loi du 2 janvier 2002 n'a pas été conçue pour faire progresser la citoyenneté des usagers des établissements sociaux et médico-sociaux mais en priorité pour accentuer les contraintes budgétaires pesant sur les institutions, estime Sylviane Agostino-Sollier, responsable d'un foyer d'hébergement pour adultes déficients intellectuels à Paris (1). Elle réagit ainsi à l'interview publiée récemment dans nos colonnes (2) de Joël Defontaine, Marcel Jaeger et Hervé Ledoux sur les effets de ce texte .
« La loi 2002-2 peut être considérée comme révolutionnaire non pas parce qu'elle "introduit la logique de la prestation de service" (Joël Defontaine) ni parce qu'elle "met au cœur de l'action sociale et médico-sociale la question des droits des usagers et de leur accès à la citoyenneté" (Marcel Jaeger), mais parce qu'il a fallu une loi pour faire reconnaître ce qui relève du droit commun, ce qui en dit long sur le regard porté par la société sur les personnes handicapées. Comme le souligne également Hervé Ledoux, "derrière les habits respectables de la citoyenneté, c'est…
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