Recevoir la newsletter

Chantier école dénonce les incohérences de la mise en œuvre du contrat d'avenir

Article réservé aux abonnés

L'association Chantier école (1), qui mène actuellement une enquête au sein de son réseau sur la mise en œuvre des contrats aidés créés par le plan de cohésion sociale, constate des incohérences qui mettent les chantiers et les ateliers d'insertion « dans une impasse paradoxale ».Le coût résiduel de ces contrats, déplore-t-elle en premier lieu, reste, contrairement aux promesses de Jean-Louis Borloo, supérieur à celui des anciens contrats emploi-solidarité et contrats emploi consolidé (2). En outre « malgré la loi, les représentants des réseaux ne sont toujours pas présents au sein du service public régional de l'emploi, [ce qui nuit] à une concertation territoriale indispensable pour le maintien de ces activités d'insertion ». Chantier école relève une absence de coordination entre les services de l'Etat et les départements, avec « des conséquences catastrophiques sur l'activité des structures ». Alors que les contrats d'avenir sont destinés à tous les bénéficiaires de minima sociaux, les départements, responsables de la gestion du RMI, semblent rechigner à s'y investir. « Nous assistons à un bras de fer dans lequel nous sommes pris en otage », explique Philippe Louveau, délégué…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur