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Répondre à la souffrance sociale

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Répondre aux souffrances des laissés-pour-compte de la justice sociale : telle est l'ambition des chercheurs et des praticiens - soignants et acteurs sociaux - qui témoignent dans cet ouvrage. « L'embarras tient au fait qu'il est aussi impropre de qualifier cliniquement l'inégalité sociale que de justifier politiquement la précarité », souligne Jean Darrot, pédopsychiatre, revendiquant une clinique qui marche sur ses deux jambes : l'une politique, l'autre analytique. A cet effet, plusieurs initiatives innovantes d'accompagnement social sont menées en lien avec des psychiatres. Il en va ainsi des actions conduites par les équipes d'Emmaüs à l'interface de la santé et du social, ou bien du « psy-qui-traîne », dispositif toulousain mis en place par l'association Partage Faourette. Pour Michel Joubert, professeur de sociologie, il s'agit de « dégager des voies nouvelles d'aide, de réhabilitation et de promotion, en s'efforçant de contrer les tendances individualisantes et psychologisantes en vogue dans l'action sociale ». Plus mesuré, son collègue Robert Castel évoque bien le risque de chercher, dans la faiblesse de l'individu, la cause principale de la situation « catastrophique » dans…
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