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Les pionnières du travail social auprès des étrangers

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Au moment où le service social d'aide aux émigrants (SSAE) doit se fondre dans l'Agence nationale de l'accueil des étrangers et des migrations, voilà un ouvrage qui éclaire sur de nombreux points l'expérience originale de cette association. C'est au début du XXe siècle qu'un groupe de philanthropes américaines se fixe pour tâche de défendre et d'assister les jeunes filles aux prises avec les tourments du parcours migratoire. L'initiative de cet International Migration Service se répand au-delà des frontières. En France, les premiers comités locaux du service d'aide aux émigrantes commencent à fonctionner au début des années 20 dans les ports de Cherbourg, du Havre et de Marseille. Créée en 1926, sous l'intitulé de Service international d'aide aux émigrants (SIAE), l'association deviendra le SSAE en 1932, quand elle sera reconnue d'utilité publique. Sans faire référence à des critères de nationalité ou de religion, contrairement à d'autres œuvres de l'époque, elle cible principalement la population féminine, s'employant au soutien et à la réunification des familles dont les membres ont été dispersés ainsi qu'à la protection des enfants errants, elle veille aussi aux conditions d'application…
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