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Un parlementaire propose de reconnaître l'association « d'intérêt sociétal »

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Quels modes de relations avec les pouvoirs publics permettraient de mieux soutenir et de rendre plus efficace l'action des associations œuvrant pour l'intérêt général ? Comment ces associations pourraient-elles se voir déléguer des missions de service public ? A ces deux questions, posées le 15 novembre 2004 par le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, Jean-Pierre Decool, député (apparenté UMP) du Nord, vient de répondre par un rapport remis le 12 juillet à Jean-François Lamour, ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative (1).Le texte n'apportera pas grand chose à la connaissance du milieu associatif, notamment dans le domaine sanitaire, social et médico-social, mentionné comme le plus important au plan des effectifs salariés et des budgets, mais à peine évoqué, sauf pour se satisfaire apparemment de son encadrement par la loi du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale.Au total, selon divers recoupements, la France compterait un million d'associations en activité. Seules 168 000 emploient au moins un salarié et 32 500 plus de dix salariés. 2 000 sont reconnues d'utilité publique. D'autres, beaucoup plus nombreuses mais non répertoriées, relèvent…
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