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Le sénateur Pierre André préconise une rénovation des contrats de ville

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Dans un rapport rendu public le 12 juillet, le sénateur (UMP) de l'Aisne, Pierre André, dresse un bilan « en demi-teinte » des contrats de ville signés en 2000 pour venir en aide aux quartiers en difficulté et dont l'échéance est programmée pour la fin de l'année 2006 (1).Selon le parlementaire, les 247 contrats de ville conclus entre l'Etat et les collectivités territoriales - dont le périmètre couvre la quasi-totalité des zones urbaines sensibles et concerne au total 2 199 communes, où vivent 27 millions d'habitants - ont produit des « apports incontestables », notamment dans leur capacité à mobiliser les acteurs dans les quartiers en difficulté. Pierre André souligne également les vertus du dispositif à l'égard des associations. Les contrats de ville leur apportent ainsi « un soutien financier et une reconnaissance institutionnelle ». Ils apparaissent, en outre, comme un « support indispensable » dans leurs relations avec les acteurs institutionnels.Autant d'avantages toutefois amoindris en pratique par un certain nombre de limites importantes. Le sénateur déplore ainsi « une mobilisation financière parfois insuffisante , réduisant au total la marge de manœuvre des acteurs…
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