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Le malaise des conseillers d'insertion et de probation

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Les rapports successifs plaident en leur faveur, mais les services pénitentiaires d'insertion et de probation (SPIP) n'ont toujours pas les moyens d'assurer leurs missions essentielles de réinsertion et de lutte contre la récidive. Depuis six mois, leurs organisations syndicales représentatives -le Syndicat national de l'ensemble des personnels de l'administration pénitentiaire (Snepap) -FSU, l'Union générale des syndicats pénitentiaires (UGSP) -CGT et la CFDT Interco-Justice (1) - font alliance pour réclamer un plan pluriannuel « de recrutements diversifiés de travailleurs sociaux » et de personnels d'encadrement et administratifs dans leurs services. Sortis bredouilles de leurs entrevues au ministère, ils tirent la sonnette d'alarme. « Depuis des années, nous assistons à un empilement de missions nouvelles pour les travailleurs sociaux sans les moyens correspondants. Nous sommes arrivés au-delà de ce qui est absorbable... », prévient Michel Pouponnot, secrétaire national de l'USGP-CGT.Depuis l'application de la loi « Perben II », les syndicats relèvent jusqu'à 400 %d'augmentation du nombre d'enquêtes sociales rapides confiées aux SPIP, dans le cadre de la comparution immédiate. La…
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