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La présidence britannique de l'Union affiche très peu de priorités sociales

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Le Royaume-Uni a pris, le 1er juillet, la présidence de l'Union européenne pour six mois. Présenté par Tony Blair le 23 juin au Parlement européen à Bruxelles, le programme britannique pour l'Europe affiche en réalité, d'après l'ordre du jour provisoire des conseils des ministres, très peu de priorités sociales (1). Sur l'agenda des ministres de l'Emploi et des Affaires sociales - deux réunions prévues (3 et 4 novembre et 8 décembre) -, un seul « accord politique » est inscrit, sur la directive « temps de travail ». Une annonce qui, selon les diplomates français, paraît très optimiste au vu des dernières discussions (2).En matière de justice et d'affaires intérieures, la présidence britannique aura une autre particularité puisque ses représentants présideront le conseil sans avoir le droit de vote, car ils ne participent que de façon partielle à ces politiques, surtout en matière d'asile, d'immigration ou de frontières. Un accord est cependant prévu pour les directives sur le statut de résident des bénéficiaires de la protection subsidiaire et sur les critères communs de procédure d'asile. De nombreuses « conclusions » - sans valeur contraignante - devraient également être adoptées…
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