Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Lecture : 1 min.
Ne pas partir en vacances est aujourd'hui un signe d'exclusion. C'est pourtant encore le fait de près de 40 % des Français. Le Conseil national du tourisme s'est donc intéressé, en 2001, à l'incitation au départ des non-partants et, aujourd'hui, à la coordination des aides (1).Un groupe de travail animé par Nicole Prud'homme, présidente de la caisse nationale des allocations familiales (CNAF), a repéré six catégories d'aides : celles mises en place par l'Etat, notamment au travers du chèque-vacances et des bourses solidarité vacances, les dispositifs des caisses d'allocations familiales (CAF), les aides dispensées par les collectivités locales, celles financées par les comités d'entreprise, les aides et l'accompagnement initiés par les associations, enfin les incitations consenties par les hébergeurs au travers de leur tarification. Face à cette diversité, le rapport détaille des exemples de coordinations locales, notamment autour des départements, des communes et des CAF, et suggère de les renforcer.Insistant sur l'intérêt d'une coupure d'une semaine au minimum hors du lieu de résidence habituel pour le bien-être physique et psychique, l'acquisition de l'autonomie et le renforcement…
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