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Des propositions pour « institutionnaliser le dialogue civil » et améliorer les relations entre les pouvoirs publics et les associations

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Réunis depuis février pour préparer la conférence nationale de la vie associative - qui devrait se tenir au cours du dernier trimestre 2005 -, trois groupes de travail ont remis, le 9 juin, leurs rapports à Jean-François Lamour, ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative (1). « Nous ne partons pas de zéro », rappelle le premier groupe, présidé par Bruno Durieu, inspecteur général des finances et ancien ministre, chargé de plancher sur « l'affirmation de la place des associations dans le dialogue civil », en évoquant notamment la charte des engagements réciproques entre l'Etat et les associations, signée le 1er juillet 2001 (2). Sans « succomber à une vision enchantée » d'un monde associatif « extrêmement hétérogène et éclaté », auquel les jeunes, les étrangers et les marginaux participent rarement, où « il y a des entités très démocratiques et d'autres qui le sont moins, voire pas du tout », le groupe estime néanmoins que les associations constituent un corps intermédiaire à part entière, essentiel à l'exercice de la démocratie et au développement des solidarités, qui « contribue à la prise en compte de l'intérêt général ». Pour lui, il faut en tirer toutes les…
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