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L'hébergement d'urgence des demandeurs d'asile victime de coupes claires

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A Paris, près de 400 réfugiés pris en charge à la demande de l'Etat « risquent de se retrouver dans la précarité, à la rue, à partir du 1er juillet », dénonce France terre d'asile (FTDA) (1). La direction des affaires sanitaires et sociales indique en effet qu'il lui manque neuf millions d'euros pour faire face aux besoins d'hébergement d'urgence des demandeurs d'asile et des réfugiés. Et il n'y a pas qu'à Paris. En Maine-et-Loire par exemple, il faudrait près d'un demi-million d'euros de plus... Partout, « des dispositifs pourtant voulus par l'Etat en début d'année ne sont pas financés, mettant ainsi en péril les associations qui les portent. Des familles se voient baladées de département en département », ajoute l'association. Le constat est partagé par la Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociale (FNARS) (2)  : « Nos présidents en région nous ont signalé une diminution, jusqu'à 40 %, des crédits de la direction de la population et des migrations », témoigne Jean-Marc Gilonne, son directeur général. « Les crédits alloués pour les demandeurs d'asile dans les Pays-de-la-Loire nous permettront de financer les dispositifs jusqu'à la mi-juillet, précise…
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