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Le retour à l'emploi est plus difficile pour les mères ayant bénéficié de l'allocation parentale d'éducation

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La réforme de l'allocation parentale d'éducation (APE) en 1994 a eu un « impact important » sur le devenir professionnel des mères après la naissance de leur deuxième enfant, « leurs taux d'activité passant de plus de 70 % au début de 1994 à environ 55 % en 2002 ». Et ce, malgré la croissance ininterrompue entre 1993 et 2002 des niveaux de qualification et du taux d'activité des femmes de 20 à 49 ans. C'est ce qui ressort d'une étude de la direction de la recherche, des études de l'évaluation et des statistiques (DREES) (1). Pour mémoire, l'APE - 555 000 bénéficiaires en métropole au 31 décembre 2002 (2) - est versée aux parents de jeunes enfants qui décident d'interrompre ou de réduire temporairement leur activité professionnelle afin de s'occuper d'eux. Initialement réservée aux familles de trois enfants ou plus, l'allocation a été étendue, en juillet 1994, à celles de deux enfants, dont l'un a moins de 3 ans. Notons que, depuis le 1er janvier 2004, les familles bénéficient du complément de libre choix d'activité de la prestation d'accueil du jeune enfant (3), voué à se substituer à l'APE. Certaines conditions d'accès ont cependant été modifiées.Le retour à l'emploi, montre l'étude…
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