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L'allocation supplémentaire ne peut être réduite ou supprimée au motif que le conjoint du bénéficiaire vit à l'étranger

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Le titulaire étranger de l'allocation supplémentaire ne peut pas, pour l'appréciation de ses ressources, être assimilé à un célibataire au seul motif qu'il est séparé de fait de son épouse restée dans leur pays d'origine. Ainsi en a décidé la Cour de cassation dans deux arrêts du 8 mars. Ces décisions ont des conséquences pratiques importantes dans la mesure où de nombreuses personnes étrangères se trouvant dans cette situation ont vu leur allocation réduite ou même supprimée par la caisse régionale d'assurance maladie qui avait évalué leurs revenus au regard du plafond de ressources applicable aux célibataires (7 367,91 € par an), moins élevé que celui applicable aux couples (12 905,40 € par an).Pour mémoire, l'allocation supplémentaire s'ajoute à l'allocation de base du minimum vieillesse pour assurer un minimum de ressources à toute personne âgée d'au moins 65 ans (ou 60 ans en cas d'inaptitude au travail) qui ne bénéficie pas d'une retraite de base ou dont le montant de la pension de retraite est très peu élevé. Elle peut également bénéficier au titulaire d'une pension d'invalidité, quel que soit son âge. L'octroi de l'allocation supplémentaire est soumis à trois conditions relatives…
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