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Affaire d'Angers : « il faut raison garder »

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Les situations « à risques » constituent le champ d'intervention des travailleurs sociaux. Elles entraînent, par là même, de la part de ces derniers, des interventions « risquées », qui peuvent échouer, rappelle Joël Henry, ancien président-fondateur du Carrefour national de l'action éducative en milieu ouvert (1). Lequel dénonce la stigmatisation dont font l'objet les professionnels dans l'affaire de pédophilie d'Angers.
« Il faut raison garder. La tourmente, les souffrances, les passions exacerbées sont le lot quotidien des travailleurs sociaux. Dans l'affaire d'Angers, qui les concerne tous, il faut cependant que les professionnels conservent collectivement sérénité et lucidité.L'extrême gravité des faits découverts, leur nombre et leur trivialité suscitent non seulement un déferlement médiatique mais aussi une profusion d'avis de tous bords, au point même que l'on hésite à risquer ici une parole qui ne peut qu'y contribuer. La justice, quant à elle, semble ne pas s'y être trompée - ni avoir été trompée -puisque aucune mise en examen de travailleurs sociaux dans l'exercice de leurs fonctions n'a…
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