Les associations s'affirment comme des intervenants de proximité, mais manquent d'ouverture nationale et européenne
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Publié le : Dernière Mise à jour : 06.08.2017Lecture : 4 min.
Plutôt inquiètes face aux bouleverse- ments de l'environnement et à l'émergence d'une logique de marché, les associations du secteur sanitaire, social et médico-social estiment néanmoins avoir, aujourd'hui, quelques marges de ma-nœuvre supplémentaires. C'est donc un diagnostic partagé qu'elles portent sur leur situation, si l'on en croit les résultats de l'enquête menée par l'Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux (Uniopss) (1) en lien avec le Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc) et le Crédit Mutuel.Des réponses qui restent à affinerA la veille de son congrès, prévu du 29 au 31 mars à Marseille, l'Uniopss a voulu connaître l'opinion de ses adhérents dans un contexte de restriction budgétaire et en plein bouleversement avec l'acte II de la décentralisation et l'ouverture européenne.10 000 questionnaires leur ont été adressés et 1 527 ont pu être exploités. Il en ressort quelques tendances générales, toutefois insuffisantes, sur l'opinion du secteur. Les réponses, parfois contradictoires ou trop générales, mériteraient d'être affinées davantage pour pouvoir en tirer des enseignements significatifs.…
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