Recevoir la newsletter

Procès d'Angers : « les travailleurs sociaux ne doivent pas être des boucs émissaires »

Article réservé aux abonnés

Le dispositif de protection de l'enfance est perfectible, personne ne le nie. Cependant, explique Didier Dubasque, président de l'Association nationale des assistants de service social (ANAS), les raisons de ne pas stigmatiser les services sociaux à l'occasion du procès d'Angers (voir ce numéro) sont nombreuses.
« Le procès qui s'est ouvert le 3 mars à Angers est susceptible de provoquer au fil des semaines de vives émotions, tant les faits décrits sont dramatiques et inhumains. Les victimes sont des enfants âgés au moment des faits de 6 mois à 12 ans. La mise au jour d'un réseau de pédophilie a permis de mettre en place une protection et un accompagnement spécifique auprès de ces 45 enfants. Mais il est aussi possible que d'autres mineurs soient concernés.Nous pensons d'abord aux enfants victimes des adultes. Il faudra du temps et un soutien sans faille après ce procès pour leur permettre de reconstruire leur identité. Mais nous tenons aussi à apporter notre soutien aux travailleurs sociaux qui ont eu à suivre les enfants et leurs familles et qui sont, nous le savons, très éprouvés de n'avoir pas eu connaissance de tels faits lorsqu'ils…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

TRIBUNE LIBRE

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur