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Piqué au vif, le CNLE entend se montrer plus offensif

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Pourquoi le gouvernement a-t-il installé un comité ad hoc de suivi de la mise en œuvre de la loi de programmation pour la cohésion sociale (1), alors que cette prérogative pouvait revenir au Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale (CNLE)  ? Cette question a été au cœur d'un débat lancé par les associations lors de la dernière réunion du CNLE, le 24 février.Selon le décret du 22 mars 1999 relatif au CNLE, l'instance a bien pour mission d'assister le gouvernement pour toutes les questions concernant la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale et d'assurer une concertation entre les pouvoirs publics, les associations, les organisations et les personnalités qualifiées qui agissent dans le domaine. Le CNLE peut être consulté par le Premier ministre sur la politique relative à l'insertion et à la lutte contre la pauvreté ou encore émettre des propositions de sa propre initiative. La création d'une structure parallèle est-elle le signe de son affaiblissement ?, se sont inquiétées les associations. « Une politique chercherait-elle, sans le dire, à en remplacer une autre ? », s'interroge plus précisément la Fédération des associations pour…
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