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Les préconisations du rapport Viout pour améliorer le recueil de la parole de l'enfant

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Longtemps dédaignée ou tenue pour suspecte, « la parole de l'enfant a peu à peu occupé sa légitime place dans la procédure judiciaire ». L'affaire de pédophilie d'Outreau ne saurait la faire «  retomber dans les limites de l'indifférence ». Pour autant, « la parole de l'enfant n'a pas [...] vocation à une systématique et inconditionnelle sacralisation ». Tel est le fil conducteur du rapport du groupe de travail, présidé par le procureur général Jean-Olivier Viout, chargé au lendemain de cette affaire de réfléchir à d'éventuelles modifications de la procédure pénale et dont les conclusions viennent d'être rendues au ministre de la Justice (1). Dominique Perben et Claire Brisset, la défenseure des enfants (voir ce numéro), ont d'ores et déjà manifesté leur assentiment aux mesures préconisées.Un premier écueil touchant au recueil de la parole de l'enfant est souligné : «  invité à répéter, préciser, voire compléter son propos initial par chacun des adultes pouvant intervenir en amont du signalement, le mineur est exposé au risque de modifier ou déformer sa parole initiale ou encore de la voir sur-interprétée ». Aussi le groupe de travail suggère-t-il de mettre en place «  sans délai »…
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